L'opération anti-ramens concurenciels

Alors que Mr le Pancréa attendait péniblement ses clients dans son petit stand sans prétention dont je vous rappel le nom :
LE ROYAUME DU PANCREA : BONNE APPETIT, il entendit parler d'un concurent qui attirait les foules, un homme nommé Ichiraku.

Soit disant le meilleur cuisinier de ramens du pays, voir du monde.

Mr le Pancréa était pas tres tres content de se faire voler ses clients par un connard de cuisinier juste parcequ'il cuisinier mieux.

En plus il avait les glandes à cause de sa défaite face aux maccaques mangeurs de ramens il y'a quelques semaines de ça.

Son Pancréa criait VENGEANCE !

Il décidé donc de monter l'opération : anti-ramens concurenciels

Cette opération consistait tout d'abord à capturer un maccaque mangeur de ramens, ensuite à lui faire oublier son goût pour les ramens, à le dresser, puis enfin à lui apprendre à uriner dans des bolles de ramens.

Cela s'annonçait difficile.

Une seul solution : passer en mode SUPER PANCREA !

Une casserol sur la tête, un wok dans le dos et une passoir dans les mains, Mr le Pancréa partit avec sa fidèle monture le trycicle rouge en direction du repaire des maccaques mangeur de ramens.

Très vite il fut de nouveau devant leur tanière, à la lisière de la forêt.
Il laissa son trycicle sur le bord de la route, en prenant soin de l'attacher avec un ramen peu cuit et resistant.
Puis il se déguisa en femelle maccaque : on sentait l'experience, le pouvoir du ramen et surtout celui du PANCREA.

C'était ça le savoir faire de SUPER PANCREA !

Il prit aussi un bol de ramens pour être sûr d'attirer les bestiaux.

Mr le Pancréa gallopa jusqu'au porte de leur tanière et commença une danse du ventre simiesque tout en renversant quelques goutes du potage sur le sol.

Les Maccaques devînrent fou quand ils vûrent la femmelle se trémouser avec de la nourriture sous leur yeux.

Et très vite les choses s'emportèrent.
Mr le Pancréa dut rapidement enlever son costume et leur casser tous la gueule pour éviter d'en plus d'être appeler : " le type qui s'est fait casser la gueule par des maccaques ", s'appeler en plus : " le type qui c'est fait violer par une centaines de maccaques en rute".

Ils étaient en quelques secondes tous par terre, et Mr le Pancréa sain et sauf.

Il attrapa la maccaque qui parraissait le moins amocher par le pied et le traina jusqu'à son trycicle ou il l'attacha avec le ramen qui lui avait servit préalablement à faire de même avec son moyen de locomotion. Puis il continua à le trainer jusqu'à chez lui.



Et là, pendant plus de dix jours il l'entraîna à pisser dans des bolles de ramens.
Le singe était compétant et se fit très vite à la vie d'animal de compagnie, logé et nourrie grassement.

Malheuresement pour lui il était si bien dresser que quelquefois il lui arrivé sans s'en rendre compte d'uriner dans les bolles de ramens qu'il mangeait.

En tout cas il était prêt. Prêt pour la plus grande mission de sa vie, celle qui allait devenir son quotidien : uriner en cachette dans tout ce que préparait Ichiraku.


Il trouva rapidement son stand, se faufila par une aèration et commença son oeuvre. Il buvait, urinait, buvait urinait et quand il n'était pas dans les cuisines où il faisait son office, il gardait son urine dans des récipients qu'il versait ensuite dans les préparations du cuisinier.

Pendant les semaines qui suivirent les clients s'ammacèrent encore d'aventage, félicitant Ichiraku pour ses nouvelles recètes et celui-ci bien que pris par l'incompréhenssion s'en accomodait très bien voyant son chiffre d'affaire décoler.



Mr le Pancréa était persuadé d'avoir échoué et se préparait même à redresser son maccaque pour chier dans les ramens d'Ichiraku quand le premier des clients de ce dernier tomba malade.

En effet l'urine de maccaque était nocive mais seulement à long terme.


Mr le Pancréa avait donc oublié les enseignement de son maître ?

Ce fut le début d'une longue descente aux enfer pour Ichiraku, tous ses clients mourraient ou tombait malade, ou se voyait recouvert de poiles et rougir les fesses.


Le cuisinier dut fermer boutique puis il se pendit avec un ramen peu cuit (aldente) qui resistait à son poids.


Et au moment où il poussa le tabouret pour que le ramen l'étrangle, il vit un petit maccaque, s'approcher, puis uriner dans sa vaiselle , et enfin sur lui.


Il compris, mais il était trop tard, il avait beau se débattre, il mourru comme il nacquît : par le ramen ! et plein d'urine.